Le Style Troubadour en France
Beauregard (1864) / Franconville (1876-1890) et Trévarez (1893)
An equivalent to the Gothic Revival of the Germanic and Anglophone countries, the Troubadour Style was a somewhat derisive term for French historical painting of the early 19th century with idealised depictions of the Middle Ages. It can be seen as an aspect of royalist Romanticism and a reaction against Neoclassicism, which became particularly associated with the Bonaparte family.
The Château de Trévarez is a stately home in the commune of Saint-Goazec in Finistère, France. It was commissioned by James Kerjégu, Chairman of the General Council of Finistère, and built at the end of the 19th century by the French architect Walter-André Destailleur. Trévarez is one of the most recent châteaux built in France. Construction was completed around the beginning of the twentieth century. In 1941, the château was taken over by German occupying forces. Unfortunately it was bombed on 30 July 1944 by the Royal Air Force...
The Château de Trévarez is a stately home in the commune of Saint-Goazec in Finistère, France. It was commissioned by James Kerjégu, Chairman of the General Council of Finistère, and built at the end of the 19th century by the French architect Walter-André Destailleur. Trévarez is one of the most recent châteaux built in France. Construction was completed around the beginning of the twentieth century. In 1941, the château was taken over by German occupying forces. Unfortunately it was bombed on 30 July 1944 by the Royal Air Force...
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Le château de Franconville est une copie du château de Maisons-Laffitte, chef-d'œuvre architectural dû à François Mansart. L'élévation s'organise sur deux étages, ainsi que d'un étage d'attique sous les hauts combles à la française. Le château se compose d'un corps principal de logis de sept travées, précédé d'avant-corps légèrement saillant devant les trois travées centrales, côté cour d'honneur et côté jardin, et flanqué de deux pavillons d'angle en saillie. L'ornementation des façades est très abondante. Selon les préceptes de Vitruve, l'ordre ionique règne au rez-de-chaussée, l'ordre dorique à l'étage et l'ordre corinthien en hauteur. N'y est concernée que la travée centrale des deux façades principales, dont les murs à gauche et à droite de la seule fenêtre sont cantonnés de pilastres : celle-ci est rectangulaire et sommée d'une frise de cannelures fines et d'une corniche qui est supportée de part et autre par deux consoles sculptées à la façon d'ailerons. Les élévations latérales ne comportent que des frontons au niveau des combles ; également triangulaires, ils sont ajourés d'un œil-de-bœuf et garnis de bas-reliefs aux motifs empruntés de la mythologie grecque. Les deux travées centrales font légèrement saillie, et au niveau du premier étage, sont agrémentées d'une niche cintrée. Toujours au niveau du premier étage, des niches du même type sont également ménagées dans le trumeau des pavillons d'angle, du côté des façades principales. Comme au niveau de l'attique, la travée centrale des façades principale fait l'objet d'un traitement particulier : elle est flanquée de deux colonnes cannelées qui supportent des architraves, décorées de frises d'entablement et portant des pot-à-feu élancés. Un cartouche décorée de la même frise est placé au-dessus de la fenêtre. En ce qui concerne le rez-de-chaussée, la partie inférieure de la travée centrale ne présente que des pilastres. Par contre, les avant-corps sont précédés de péristyles côté cour et côté jardin, reposant sur des colonnes ioniques cannelées. Contrairement au premier étage, une frise d'entablement avec répétition du motif du biglyphe fait le tour du rez-de-chaussée au-dessus des portes-fenêtres.